Presse

Geneviève Charras – 23 juillet 2023

« Deux coups de cœurs au festival Off d’Avignon 2023 : Faraëkoto… »

La Provence – 23 juillet 2023
« Festival off d’Avignon : les 10 pièces à voir absolument… »
« …Duo de hip-hop tout en poésie par lequel le handicap se mue en danse et devient art… »


La Terrasse – 15 juillet 2023
« Le ballet théâtral, soutenu par la création musicale et vidéo, s’exécute avec grâce et souplesse. »


Chroniques festivalières d’Avignon – 13 juillet 2023
« Dans une chorégraphie très électrique où le corps est perpétuellement en lutte pour survivre et affronter l’adversité, Séverine Bidaud offre au travers de ce conte une jolie réflexion sur le handicap et l’exaltation du corps quand celui-ci est contraint. »


Talentéo – 4 juillet 2023
« Fara et Koto offrent une prestation changeant notre regard sur la danse. »


Les sorties de Michel Flandrin – juillet 2023
« Un environnement vidéo astucieusement mis en relief, enveloppe les saccades et contorsions qui ponctuent cette fable dont l’évidence n’a d’égale que l’urgence et la virtuosité. »


Telerama – 21/03/2022
« Deux danseurs, d’une grande technicité, mêlant hip-hop, danse de contact et influences contemporaines (…) tentent d’avancer dans un paysage onirique, à la fois fascinant et effrayant…  »


Site web Arts chipels – 07/02/2022
« Une proposition chorégraphique tendre, inventive et éclairante »


La vie à BRY n°479 – décembre 2021
Interview de Séverine Bidaud, chorégraphe de la compagnie  
« un Hip-hop engagé et participatif, mis en scène dans des univers décalés »


Télérama
« Une pièce chorégraphique sensible et vibrante« 


Rouen Magazine – 05/12/2018
« Il faut un sacré savoir-faire et un culot monstre pour adapter la danse urbaine à un public familial. »


Télérama – 03/07/2018
« […] Une pièce chorégraphique sensible, vibrante, sur les passages de l’enfance à l’âge adulte, de la vie à la mort. »


La Gazette de la Manche – 17/01/2018
Interview de Séverine Bidaud, chorégraphe de la compagnie
« On veut montrer que le hip-hop touche tout le monde, toutes les générations. »


Danser Canal  Historique – 16/12/2017
« La réussite de Dis, à quoi tu danses? tient à la maîtrise de tous ces éléments. »


Artistik Rezo – 15/12/2017
« Un spectacle plein d’humour et de finesse (…) un spectacle qui a beaucoup de jolies cordes à son arc. »


Toute la Culture.com – 18/12/2017
« Un pari risqué et totalement réussi. » 


The Financial Times 17/11/2017
« Bidaud a incarné elle même la Petite Fille aux allumettes, se glissant tout autour de la scène en affichant une aisance exceptionnelle. En tant que chorégraphe, elle a l’œil pour le détail et le récit. »


C’est comme ça qu’on danse – 12/11/2017
« La Cie 6ème Dimension s’installe à La Villette pour 9 représentations du spectacle Dis, à quoi tu danses? créé en 2015, autour de l’univers des contes(…). Comme à son habitude Séverine Bidaud créé des «personnages décalés parfois loufoques ou bien encore irréels, mi-hommes, mi-animaux », bouleversant parfois les codes de la danse hip-hop pour investir un imaginaire poétique et féérique. »


Ouest France – 05/05/2017
« C’était émouvant, poétique, imaginatif et même parfois burlesque. Cinquante minutes de parenthèses, de temps suspendu en vol. (…) Un joli coup de chapeau à tirer aux artistes. »


Restitution Etude IADU – 10/02/2017
Cette enquête, lancée par les deux cofondateurs du programme, la Fondation de France et la Villette, part des 17 années d’existence de IADU (Initiatives d’Artistes en Danses Urbaines) mais dresse également un panel des différentes soutiens apportés par les institutions à la danse hip-hop.


Paris-Normandie – 27/01/2017
« La compagnie 6e Dimension intervient toute cette année scolaire pour mener des ateliers de danses urbaines, dans le cadre du Contrat local d’éducation artistique et culturelle (Cleac) de la communauté de communes Lyons-Andelles. »


L’Impartial – 19/01/2017
« Formée de cinq danseurs, la troupe met tout en œuvre pour transmettre sa passion avec authenticité et sincérité. »


Le Parisien – 15/11/2016
« Le festival de hip-hop a toujours du groove – La compagnie 6e Dimension, déjà invitée l’année dernière, viendra présenter sa nouvelle création. »


Paris-Normandie – 03/11/2016
« Hip-hop, est-ce bien sérieux? est un spectacle décalé et plein d’humour où l’on abat les clichés. » – extrait de l’interview de la chorégraphe Séverine Bidaud


Paris-Normandie – Juillet 2016
« Ces trois danseuses trentenaires esquissent avec tendresse et humour leur féminité et témoignent que l’on peut danser sa vie à 80 ans. »


Le Parisien – 24/03/2016
« La compagnie 6e Dimension explore l’univers de l’enfance au cours d’une balade tendre et légère. »


Paris Normandie – 14/02/16
« La chorégraphe Séverine Bidaud joue avec les corps et crée un nouveau langage, dans un monde peuplé de dessins et de vidéos.« 


Le Courrier Cauchois – 12/02/16
« Un spectacle gai et poétique, l’occasion de nous interroger sur la différence et la diversité à travers un voyage symbolique et onirique vers les contes de notre enfance.« 


Magazine Pataques #7 – Janvier-Mars 2016
« Oubliez les cours magistraux rébarbatifs, Séverine Bidaud bouscule les règles et fait danser sa conférence.« 


Le Courrier Cauchois – 13/05/2016
« Voilà un Petit Chaperon rouge qui mêle à merveille les codes du hip-hop et du classique, mi-sweat mi-tutu.« 


Le Courrier Cauchois – Mai 2016
« Lors des ateliers, le charme a opéré auprès des cent petits chaperons rouges d’Yvetot qui ont découvert avec enthousiasme la danse hip-hop.« 


Le Courrier Cauchois – Juillet 2014
« Parce que le leitmotiv de 6e dimension est la rencontre avec les publics, aussi divers soient-ils, à travers la danse. Avec au cœur un message :  rendre accessible cette danse qu’est le hip-hop.« 


Paris-Normandie – Novembre 2015
« Un spectacle original !« 


Le Courrier Cauchois – 10/04/2015
« Les enfants ont été enthousiastes et ont participé activement aux ateliers.« 


Paris-Normandie – 02/04/2015
« On mélange les genres, les différents styles pour détourner la danse.« 


Télérama.fr – Avril 2014
« Avec la compagnie 6ème dimension, le hip-hop se prend un coup de nerfs au féminin, et ça chauffe ! (…) Autour de la quête de l’homme idéal, ce spectacle annoncé comme une bombe de vitamines joue la carte de la virtuosité et de l’humour en surfant sur tous les styles hip-hop.« 


Le Courrier Cauchois – 17/01/2014
« Toutes les générations sont donc invitées à venir comprendre toute la richesse culturelle dont est fait le hip-hop« 


Danser – Septembre 2010
« La compagnie 6e Dimension a remporté le prix Beaumarchais 2010 de la société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD), avec Je me sens bien… LadySeverine y compose 6 portraits de femmes en proie aux effets du temps qui passe… « 


Le Dauphiné Libéré – 07/04/2014
« De la nostalgie, mais pas de désespoir dans ce sujet traité avec beaucoup de délicatesse, d’émotion et de bienveillance. »


Paris Art – Mai 2010
« de bonnes surprises au programme de cette mise à jour de la pièce : le sextet d’excellentes hip hoppeuses 6e Dimension, qui vient perturber le semblant de cohérence de la chose… « 


Journal de Lillebonne – Décembre 2012
« Un spectacle de hip-hop porté par six danseuses qui rappellent le plaisir de vieillir.« 


Paris Normandie – Janvier 2014
« La chorégraphe propose dans cette création 2013 une découverte de la danse hip-hop et de son mouvement qui connaît un essor grandissant en France.« 


Ouest-France – 16/05/2012
« Joli titre de spectacle, car c’est vrai, l’on s’est senti « bien »! Ça nous déborde, ça nous gagne,de voir sur scène six danseuses formidables qui donnent, dansent, pirouettent, prennent toute leur énergie au sol et la retransmettent avec force et émotion dans l’espace.« 


Loisirs/Culture – L’Aigle – Mai 2012
« Sur la scène six excellentes danseuses de hip-hop tournent leur regard vers le temps qui passe et la vieillesse en chorégraphiant des portraits de vies féminines.« 


Ouest-France – Orne – L’aigle – 11/05/2012
« La compagnie 6e dimension présente vendredi soir sa chorégraphie « Je me sens bien », dansée par six excellentes danseuses de hip-hop, évoluant sur une musique de Mao Sidibé, qui revisite et adapte au goût du hip-hop des airs connus des années 30 à 50.« 


Journal de Rouen – 10/05/2011
« Sur le plateau, elle convoque six danseuses venant de divers horizons dans cette création pleine d’humanisme (…) On ressort avec le cœur léger.« 


Espace 93 – Ça m’intéresse – Octobre 2010
 » « Je me sens bien » : le titre de ce spectacle proposé aux plus jeunes à l’espace 93 reflète aussi le sentiment des spectateurs à sa sortie. Présenté par la compagnie 6e dimension, il est une ode à la féminité incarnée par six danseuses.« 


Oxygène n°91 – 23/06/2010
 » …La chorégraphe de la compagnie, Séverine Bidaud a conquis jury et public avec Je me sens bien, une pièce attachante et humaniste, interprétée par six jeunes femmes et ayant pour thème le culte de l’apparence et de la beauté prôné par notre société à travers des nouveaux seniors… « 


Canal l’agenda – Avril 2010
« un plaidoyer généreux et énergique pour la solidarité intergénérationnelle…« 


Leparisien.fr – Mai 2012
« Les deux danseurs de la compagnie 6e Dimension tentent de faire danser de concert des bambins souvent turbulents et très énergiques et des retraités parfois timides. Une centaine de personnes se sont ainsi retrouvées hier après-midi à Villiers-le-Bel, à l’espace Marcel-Pagnol, pour participer à un bal intergénérationnel qui a trouvé son public.« 


Le courrier Cauchois – Yvetot – Avril 2010
« Des groupes pros de hip-hop, il en existe sûrement, mais quand il s’agit d’un groupe réunissant presque exclusivement des filles, ça défrise encore plus.« 


Radikal – Décembre 2003
« 6e Dimension n’a pas hésité à sortir les grands moyens. Qualité de son et des éclairages impressionnants. Visibilité optimale dans toute la salle. L’innovation : la transparence de la notation. »